Thursday, February 9, 2023

Salé ou non, piétiné ou non?

Résident de Montréal, seul, entouré d’un million d’habitants; je suis seul sur terre avec personne auprès de moi à qui parler, personne pour me soutenir. Fautif, contrairement à Job, lui qui a été éprouvé et reconnu juste dans la bible, lui qui a finalement prospérer, mais quelle punition satisfait Dieu? Que dire? On a ce que l’on mérite? Devons nous tous être éprouvés pour approcher la ressemblance de ce qui est exécrable? Mais que mérite tous les opprimés de la terre, tous ces affamés et malades, ces persécutés dans les pays en guerre, ces mourants de diverses conditions? Sans excuses, il faut savoir se créer des circonstances positives où on reconnaît notre dépendance à la prière, espérer, et mettre d’avant notre seigneur même si ce n’est que de prier en secret pour les autres comme on prie pour soi-même. 


Personne ne mérite la misère plus qu’un autre mais l’humanité est égoïste en voulant ignorer le mal d’autrui. Pauvre, on accuse même les dirigeants de sociétés d'œuvres de charité de s’en mettre plein les poches, mais quoi donner et où donner? Que faire? Comme s’il n’y a plus rien à espérer si ce n’est que le secours de soi-même par soi-même. Seulement, par le Christ, le secours de soi-même commence par notre obligation à secourir les autres. Le christianisme est le sel de la terre, il faut donc savoir se manifester. Si on est piégé pour penser valoir moins que rien, que tout ne sert à rien, il faut confesser ses horreurs, ne pas les répéter, poursuivre avec repentir, et alors la meilleur voie à suivre nous est éclairée par le rédempteur. Il faut espérer que la miséricorde existe par tous et pour tous. La charité doit exister en chacun de nous, et le Christ est la meilleure semence.


Mais que pouvons-nous faire pour les autres? Il y a bien sûr différentes applications du bénévolat. Mais qui prend son temps pour aider les autres lorsque ce temps peut servir à notre divertissement, et là, dans notre société de consommation, la seule chose qui manque pour se divertir davantage, c’est plus d’argent. Mais au-delà les dépenses, il y a le bon vouloir qui demeure gratuit, comme lorsqu’on était jeune, où la simplicité était bienveillante. Les sports nécessitent peu d’investissement et les sports d’équipe où on se faisait des amis sont toujours existants. Les amis d’enfance sont souvent ceux qui demeurent, mais tout le monde peut être notre ami si on se donne la peine de partager. Et l’évangile est ce qu’il y a de mieux à partager.


 Je crois que la communication est ce qui importe le plus comme satisfaction personnelle car rare sont les ermites, au contraire, les réunions nous attirent, il s’agit de trouver un sujet attirant qui nous souhaite la bienvenu. Les réseaux sociaux qui sont si populaires proviennent du besoin de communiquer et sont possiblement un reflet semblable à une extension de nos rapports familiaux où notre communication empathique a commencé. Où sont rendus les justes participants de l’humanité? Souvent, la communication, comme pour le bénévolat, nous coûte que du temps. Il y a bien sûr la science des communications qui est commerciale, on y retrouve les médias et toute la télédiffusion  et différents programmes avec des hôtes ou des hôtesses. Maintenant, les réseaux sociaux sont gratuits mais avec un abonnement internet et l’ordinateur comme outils, puis ces cites que l’on rejoint sont parfois bien impersonnelles avec des gens qui demeurent étrangers. Plus familier, on se parle volontairement entre connaissances, seulement, souvant, on s'en tient au potins et si le sujet est controversé, on suit l’opinion générale pour ne pas être impliqué ou manquer d’arguments. Pourtant, notre Dieu est bien intime et est en nous; la foi comme la grâce sont des dons, l’évangile devrait être sur nos lèvres en espérant tout ce qui vient avec le  consolateur on peut s’affirmer.


On est dans un pays libre et démocratique et bien sûr qu’il y a des controverses et que plusieurs gens s’unissent pour certaines manifestations. Seulement, je doute que les efforts soient vraiment du sens le plus positif, c'est-à-dire, je crois que la charité doit dominer dans tout. Les syndicats veulent plus d’argent, les gouvernements cherchent à laisser leur marque, les étudiants veulent tout gratuitement, tandis que les opprimés n’ont pas de voix. Des malades hospitalisés n’ont pas d’air climatisé durant des chaleurs étouffantes l’été, des clochards dorment à l’extérieur durant les froids d’hivers, des handicapés ont peu de soin à domicile, et les files d’attentes pour voir un médecin se prolongent.


Je crois que le pire, c’est le manque d’information qui nous a conduit à l’abandon de la source de vie et de l’obligation de suivre la vérité que représente notre seigneur Jésus . À cause de mauvais messagers, on oubli notre Seigneur. On oublie des milliers d'années  d’histoire. On se rappelle de Samson comme on se rappelle d’Hercule et ce dernier n’est pas dans les écritures de la Bible. La Bible retient plus que l’Ancien Testament, la bible c’est aussi le Nouveau Testament, et ce Nouveau Testament aussi connu comme nouvelle alliance, c’est où que les fautes reconnues dans l’ancienne alliance sont rachetées et  tout a été prophétisé. Maintenant, on peut savoir que le seigneur a fermé la boucle jusqu’à son retour, ce retour où chacun de nous doit être reconnu pour le rejoindre.


Donc, le plus important c’est la communication. Et je crois que la meilleure communication est de faire connaître le seigneur Jésus Christ qui est la véritable source de vie qui développe le juste partage. Il faut retourner à nos sources comme Josias l’a fait dans l’ancien testament lorsqu’il a retrouvé les écrits de la loi. Déjà, lorsque j'étais jeune, il y avait ces missionnaires qui allaient dans les pays en développement pour leur annoncer la bonne nouvelle de l’évangile; ces gens étaient reconnus comme de grands sacrificateurs où il se mettait corps et âme au service de Dieu. On pouvait se demander: Mais que nous reste il à faire nous laĩques pour plaire à Dieu, et on a poursuivi avec notre train-train quotidien, où le travail, le divertissement et le mariage puis la progéniture continue. Malheureusement, le seigneur a perdu sa popularité et aujourd’hui au Québec en général on ne reconnaît plus la vérité de l’évangile mais on retient les scandales des mauvais messagers et le camouflage de leur fautes par des dirigeants de l’Église comme aussi certaines implications politiques probablement injustifiées, et les sacrifices des meilleurs ne semblent plus à propos. Maintenant, des prêtres d’autres pays viennent ici pour se développer en pratique et possiblement pour soulager la communauté sacerdotale catholique vieillissante, puis, l’assistance demeure à la baisse aux célébrations des messes chrétiennes, et certaines églises sont démolies. 


Je dis que derrière le plus grand bien se cache le plus grand mal, car le mal est hypocrite avec de fausses promesses et ses multiples tentations de cupidité, de luxure, de pouvoir injuste.  Notre seigneur n’a pas deux côtés car malgré son vécu d’homme, il est complètement spirituel maintenant assi à la droite du Père. Et si l’information a deux côtés, c’est à dire le bien ou le mal, l’évangile c’est la semence du Christ, le bon grain, il faut savoir reconnaître le bien, le spirituelle au-delà du mondain, et s’informer à son sujet et poursuivre un chemin plus en accord avec notre seigneur. Heureusement pour plusieurs d’entre nous que, pour Dieu tout est possible. Pour nous, ce qui importe, c’est de faire des efforts dans le bon chemin, d’espérer, et de faire la charité, c'est-à-dire qu’il faut s’aimer les uns les autres en voulant être juste où on garde en soi l’esprit de la charité.


L’Église de Dieu rassemble toutes les différentes congrégations chrétiennes et on doit se réveiller pour plaire à Dieu en se réunissant en son nom pour le bien de tous.


Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!