Le Christ nous enseigne que le malheur des autres doit être le nôtre car ces malheurs sont les siens. Mais combien sommes-nous à souffrir pour les autres ou bien qui espère pour les autres? On est d'ordinaire plutôt occupé à solidifier notre patrimoine malgré nos vacances et d’autres bons temps. Et si on peut se reconnaître comme méritoire d’une malédiction qui nous identifie, que l’on est la représentation de ce qui mérite réprésaille, comment faire pour parvenir à un partage de justice et de joie? Il faut avouer sa perversion et espérer en des gens meilleurs pour être exemplaires. Il faut vraiment se reconnaître coupable pour ne pas propager le mal. Il faut savoir libérer le monde de ce qui ne doit pas exister. Tout est soumis à l’Alpha et l’Oméga, Lui qui nous demande de le suivre.
Il y a bien des gens qui sont maltraités par d’autres personnes sans scrupules. Il y a combien de situations, extérieures à nos occupations journalières, qui nous préoccupent vraiment? Combien de malheurs demeurent inexpliqués? Le pire pour moi est cette lacune qui empoisonne l'âme tout en étant pas criminelle dans notre société. Il faut prendre le temps de s’impliquer mais la majorité des gens ne donnent rien aux quêteux qu’ils croisent et combien pensent de soulager moralement ceux qui étouffent. Par contre, on se laisse aller à n’importe quelle mode avec n’importe qui si on peut rehausser son identité auprès des autres pour être accepté, et cela commence dès l’adolescence et peut être avant, où on se préoccupe de notre entourage immédiat. Il y a toujours quelque chose ou on veut se valoriser mais parfois c’est le dysfonctionnel que l’on accepte, que ce soit une mode vestimentaire ou d’apparence physique ou une mode de mépris de ceux qui sont différents; puis il y a ces prouesses comme ces tendances à l'extrême qui semble vouloir s’atténuer depuis la pandémie. Il est bien de dire vivre et laisser vivre, d’accepter les autres, mais qu’elle aide on apporte? Le vrai christianisme ne peut pas faire de mal, mais il faut aussi anéantir le mal par le bien, ce qui est contraire à notre société de justice car l’humanité ne sait que prendre profit de ce qui semble être une faiblesse.
Mais quel est votre apport auprès des opprimés? Et puis, sommes-nous soi-même l’instigateur du mal, de la médiocrité sociale? Même si on n’est pas nécessairement accusé, on peut devoir changer pour être utile. Mais combien de racontages ou de propos que certains gens vont interpréter à leur manière et revendiquer l’exactitude? Que dire de tous ces gens qui feignent tout savoir et qui agissent simplement pour se faire du galon en abusant de la confiance ou de l'innocence de ceux qui ne savent pas se méfier? Et puis, au risque de me répéter, ces gens qui n’agissent que pour se montrer comme pour s’édifier ne portent pas que des raisons pécuniaires, mais alors quel mal?. Mais si l’amour de l’argent est la source de tout mal, je crois que cela englobe le rejet de la grâce, cette grâce qui provient du seigneur simplement pour ceux qui se reconnaissent pécheur et repentant. J'essaye, malgré mes propres lacunes, d'insuffler la cure. Malgré tout, j’avoue que des efforts de civilisations sont définitivement notables. Mais on reconnaît surtout le fouet et la guillotine pour se ranger et non la douceur de la grâce que nous offre le Christ.
Je n’affirme pas que certains gens ne portent qu’un côté de la médaille, seulement, il faut être conscient pour comprendre ce à quoi il faut remédier, et savoir transmettre la voie à suivre. Il faut savoir que les erreurs surviennent pour connaître le combat à mener aussi bien pour les autres que pour soi-même. C’est qu’il faut croire au rachat des erreurs et que le Christ seul connait tout où son sacrifice découvre ce qui peut renaître chez les repentis, c'est-à-dire une bénédiction divine; donc, il faut suivre le rédempteur, le seigneur Jésus Christ. La prophétie nous enseigne que la prière sauve l’humanité. Mais il faut être parmi les rachetés.
Sans être replié sur soi-même , sa petite famille et son entourage immédiat, il nous est normal de s’affilier avec ceux qui nous ressemblent. Notre société a déjà été éprouvée et maintenant on n’a qu'à y suivre les barèmes communautaires. On sait qu’on est empli d’erreurs mais on est aussi démocratique et on espère dans l’avenir. Mais ailleurs, Il y a les crimes contre l’humanité, et à qui donc devons nous permettre d'entrer parmi nous? De toute façon, le mal existe partout, et il y a aussi ce libertinage qui ne cesse de ronger le meilleur sens de notre être car on ne sait plus placer les barrières tellement plusieurs enseignent que tout peut être permissible en rejetant la censure au lieu de dénoncer le mal qui existe. La solution ne peut nous parvenir que par la patience où la réalité est qu’à Dieu tout appartient. Ce libertinage cache l'hypocrisie lorsqu’on ne reconnaît plus la rationalité où il faut se satisfaire à l’intérieur d’un cercle charitable. Je ne retiens pas qu’il faut être stoïque ou suivre une philosophie particulière quoique je crois qu’il est favorable de connaître certains courants qui peuvent nous être utiles, c’est qu’il faut se méfier du dérapage. Revenant au Christ, comment croire au rachat? Je crois qu’il faut se pencher sur la réalité du christianisme où le seigneur est le vrai martyr de l’humanité, car il est le meilleur des humains par sa spiritualité tout en étant fils de l’homme et de Dieu. Et maintenant, il faut chercher à vivre selon les fruits de l’esprit qui contient aussi la joie de vivre. Comment combattre les crimes lorsqu’on ne connaît pas ce qu’il faut enseigner, et ce qu’il faut enseigner c’est le rachat par la voie du sang et cela n’existe que par la grâce que procure le christianisme, et il n’y a rien de vraiment comparable sauf bien sur la miséricorde que peut porter chacun de nous. Mais Dieu est le seul qui se glorifie par Lui-même pour que l’humanité aie la certitude dans la vérité de la paix.
Et Celui qui juge les autres se condamne lui-même car il fait pareillement. Et si, il est insensé de se croire meurtrier en série ou le plus pervers des individus, comment fait-il que le mal existe? Il demeure pour moi insensé de partager l’ignominie mais il faut plutôt partager la croix. Celui qui se corrige avec la prière peut savoir comment procéder; c’est qu’Il faut chercher par la prière et prier pour les autres. Mais comment faire lorsque personne demande de l’aide si ce n’est que soi-même possiblement taché de honte et en proie de la condamnation? Et puis, comment oser revivre lorsqu’on a perdu son âme, comment peut-on aider si on semble manquer du sang de l’agneau, comment retrouver la justice? Il ne suffit pas d’appeler mais ce qui importe est d’agir où seul le regret de ses fautes informe le seigneur de notre espoir. Il n’est jamais trop tard pour renaître car Dieu suscite ce qu’il veut à qui il veut; rien n’est impossible.
1 Corinthiens 5:13 Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez le méchant du milieu de vous. De toute vraisemblance, je suis le méchant de la communauté la plus sainte que veut rappeler Saint-Paul dans 1 Corinthiens 5. Je fais du pécheur mentionné presqu’un saint, car j’ai écouté Satan croyant devoir me rebellé à 13 ans, et cela, en étant prétentieux, et en reniant l’humanité par obstination ou vengeance.Tant pis, je m’étais dit, ce sera ma punition: Je n’aurai pas d’épouse, de famille ou de vrai bonheur. Malheureusement pour moi, sans aucune convenance, le mal n’aide pas le bien et aujourd’hui, j'essaye encore de bien faire mais avec difficulté et peu de réussite.
L'espoir de Paul est peu apparent dans la société, et au Québec, les églises sont parfois démolies. J’ai retrouvé la pratique de la foi depuis des décennies, mais avec des périodes d'abstinence pour ce qui a trait aux messes, quoique je n’ai jamais été mécréant dans mes abandons ou négligences de la pratique dominicale. Aujourd'hui, je ne suis toujours pas pardonné de tout car l’oubli n’est pas continuellement présent et différentes erreurs s’ajoutent. car je suis parfois tourmenté comme pour les mauvaises paroles prononcées de façon irréfléchie. qui reviennent me hanter et m’envahissent encore lorsque je perd patience. Donc, je m’éloigne de la consolation lorsque la fatigue me rattrape, que cette fatigue soit physique ou mentale. Il demeure que les écritures rappellent la consolation sous un ciel magistral.
Y a t il moyen d’instruire que la lumière existe si on est salle? Et qui voudra écouter? Mais que fait-on pour aider? Souvent, j’agis de façon agressive pour secouer le prétentieux, mais là n’est pas la manière du seigneur, pourtant, c’est l’évangile qui demeure ce qu’il y a de plus simple à connaître. Il faut parfois briser les barrières pour rejoindre les gens perdus. Mais il faut se rappeler de mentionner l’évangile où l’amour fait preuve de patience. L’amour c’est la grâce que l’on reçoit lorsqu’on cherche sincèrement à la rejoindre.
La grâce existe-t-elle pour toutes les fautes lorsqu’il y a le repentir où la parole est notre juge? Si Saint-Paul garde parfois ses valeurs de la loi ancienne, lui qui a gardé les vêtements de ceux qui ont lapidé Saint-Étienne, il rappelle l’agneau pascal où seuls les saints se reconnaissent. Il est bien malheureux qu’il y aie un si grand abandon de la sainteté si facile à suivre par la grâce du Christ où rares sont les fautes impardonnables. Pour Jésus Christ, il n’a que le péché contre l’Esprit Saint qui est impardonnable; la grâce est donc accessible pour tous ceux qui conçoivent le bien et le repentir dans l’espoir du salut par la grâce du consolateur. Il n’y a pas de mal à aider les autres et il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis (es).
Les églises se vident mais il y en a où parfois j'espère en célébration, et personne ne semble vraiment m’aider par l’évangile en dehors des églises. Par contre, il demeure aussi facile de reconnaître de la gentillesse dans le monde environnant. Mais souvent, on me juge sans questionnement, certains gens me rejette tout simplement ou me dénigre dans mon dos pour me calomnier ou m’insulter, et on me chiale ou on me crie des bêtises, et c’est moi le méchant qui ne sait pas aimer le seigneur en ne sachant pas continuellement pardonner tous, mais je dois parfois pardonner par la prière si non de façon spontané. Il peut être difficile de se faire valoir lorsque d’autres nous attribuent une mauvaise réputation, ou que certains pensent profiter d’un plus faible qui ne peut pas se défendre.
Pourtant, mes fautes sont accablantes et abjectes, mais je me suis déjà confessé d’avoir pensé de tuer même mes frères, Mais quel folie? Je disais à ma mère que j’allais la tuer lorsqu’elle m’envoyait au lit et que je voulais voir un autre film télévisé de western. Je croyais être drôlement exagéré, mais elle prend tout au sérieux. J’ai changé mon discours lorsque je l’ai entendu dire que je pourrais être placé, un jour elle m’a dit que je lui faisais de la peine avec mes propos et qu’elle aimerait que je cesse. Je me rappelle peu de l’ordre chronologique, mais j’allais la rejoindre lorsqu’elle était sur le balcon chez les voisins vieilles filles et un vieux garçon; le temps passe, et puis un jour ma mère me demande si je veux aller passer un peu de temps avec les voisins. j’aurais peut-être dû avoir poursuivie mon séjour avec les vieilles filles et le vieux garçon voisin, mais je n’avais pas bien aimé leur vinaigrette de salade et je ne comprenais pas ce que je faisais là. Comme la destinée peut être curieuse, je ne suis pas retourné voir ma mère sur ce balcon, et elle a cessé d' y aller.
Et voilà maintenant, que toute ma vie, je me retrouve toujours abandonné mais on ne connait pas mes souffrances, repentir, et espoir. Que Dieu les brûle tous ceux qui se moquent de n’importe quoi, que je ressens parfois; mais d’ordinaire, je trouve le pardon en moi et souvent avec la souffrance du vide, de la solitude, ce rejet qu’on m’impose comme pour un prisonnier fautif qui ne garde que ses pertes ou vieux péchés en mémoire. Comme ceux qui font de l'alzheimer, Je cherche souvent ce que j’ai rangé, et je crois qu’on m’a volé, mais est ce qu' on m’a volé? Ça continue, par exemple: Disparaissent certains articles qui sont des cadeaux souvenirs, un qui ne m'appartient pas et que je dois remettre, donc maintenant, une dette impossible à remettre. Mais rien de matériel n’existe vraiment, comme si rien n’est légitime que seulement la dette demeure, le repentir et le pardon. Puis je retrouve ce que je n’avais jamais perdu. Il est ridicule de se soutenir par des articles mais il est mortel de se savoir assailli par des inconnus qui ne cherchent que notre destruction morale. Et puis quel mérite?
Ce ne sont pas tous ceux qui disent seigneur, seigneur qui entre dans le royaume des cieux mais ceux qui font la volonté du Père. Et moi, je serais puni pour avoir manqué le long du chemin de la vérité de l’amour, ainsi, selon Saint-Paul, l’esprit de justice doit être libéré du mal et ne devient pas hypocrite en enseignement, ce qui est essentiel dans la communauté du seigneur.
Même si étiqueté légitime par ma belle mère, le secret que je suis bâtard est aussi connu où j’ai manqué devant toute l’humanité pour suivre le mal en reniant cette belle mère qui un soir réprimmande l’agissement anodin de mon père qui faisait une grimace à un petit chien qui voulait lui léché la langue, et cela je l’ai fait par la zoophilie. S'ensuit que l’organisateur chef des cadets zouaves, où je suis devenu cadet pour rejoindre des amis qui m’y appelaient, démissionne rapidement pour rejoindre Saint-Paul qui a gardé la vue pour le Christ en se séparant du méchant.
Que dire à part qu’il faut anéantir la perversion, l'hypocrisie et la lâcheté qui peuvent être un mauvais influence pour les brebis qui veulent partager une fraternité. Je me suis donc éloigné des meilleurs amis de mon entourage pour qu’ils aient une vie…
La loi et les prophètes vont jusqu’à Jean le Baptiste, mais le plus petit dans le Royaume des cieux est plus grand que lui. Évidemment, les saints le sont en surcroît lorsque laver dans le sang du Christ malgré leur bonne obéissance. Pourtant il n’y a qu’une sainteté, et elle provient de la grâce. La grâce est ce qui incombe et soulage lorsqu’on suit avec le Christ l’amour donc tout ce qu’il faut suivre comme les dix commandement de Dieu. Mais il y avait aussi des centaines de commandements à l”époque que les Hébreux pouvaient transgresser par inadvertance, ce qui rendait le chemin du salut ardu. Il faut donc savoir reconnaître ce qui est vraiment justifiable qui traverse les traditions, et cela s’applique où on cherche le bien de son prochain.
Donc, il faut aller au-delà de la loi ancienne et reconnaître la loi de Jésus Christ, cette charité qui n’appartient qu’aux meilleurs qui se résignent d’offenser autrui pour suivre le seigneur Jésus qui vous fait crier Abba Père, ce cri du cœur qui vous sauve où que l’on soit. Mais qui sait si Satan n’est pas sur terre? Cinquante ans ont passé sans enseignement hypocrite. Il doit être venu le jour d’être juste et sans hypocrisie de ma part de faire connaître l’évangile. Mais aujourd’hui, que dire du mondain où les politiciens russes se moquent de l’humanité et de la vérité avec même l’aide de la direction religieuse orthodox russe où on trouve un ancien KGB si on en croit les informations sur l’internet, mais quel repentir porter à l’oubli avec une propagande parallèle sans mesure? Et que dire de l’assèchement de l’Euphrate où on a pas respecté les accords? Certains gens veulent sauver leur vie en se pliant devant le mensonge, mais le mal doit être éradiqué pour faire place à la vérité. Et qui sait ce qui peut arriver? Je ne connais pas tout, seulement la charité doit vaincre.
Les scribes et les pharisiens paraissaient bien mais n’étaient pas conforme à la loi de l’amour, ils ont profité de la loi et ont empêché les autres de recevoir le bonheur. Mais si Jean est le plus grand des hommes, le plus petit par la grâce du Christ est plus grand que lui. Comme le Christ a souffert le martyr pour glorifier le Seigneur, il faut comprendre que les premiers seront les derniers, que la charité est le fondement de la grâce. Ne faites pas exprès pour péché car le pardon appartient au Seigneur et il ne faut pas le mettre à l’épreuve, mais il faut toujours espérer. Le Christ s’est soumis au Père pour libérer l’humanité, il ne faut donc pas le renier mais accepter la grâce enseignée. Malheureux sont les islamistes et leur soumission forcée car ils ne comprennent pas la divinité qui délivre.
Lorsque le sel s'affadit, il n’est plus rien que bon pour être piétiné par les hommes. Donc, il faut avoir de la patience pour partager la vérité. Il faut s’éloigner des leçons forcées qui ne sont comprises que par l’enseignant comme avec ces pharisiens et aujourd’hui des islamistes qui apprennent le coran par cœur sans connaître de vraie profondeur. Il faut s’ouvrir à la vérité et croire que l’on a raison de suivre ce qui est facile. Comme celui qui est pris et l’autre laisser, les témoins de la vérité sont reconnus par Dieu. Il faut espérer en Dieu lorsqu’on est seul au monde et une anomalie en disgrâce pour d’autres, comme ceux qui se sentent chercher pour être méprisés, abusés, voler, tout comme crucifiés.
Celui qui croit tout savoir, à mon avis, ne connaît rien s’il ne reconnaît pas la leçon que représente le seigneur Jésus Christ, c'est-à-dire de savoir aimer. Et l’erreur demeure lorsqu’on ne sait pas partager son don dans l’enceinte du consolateur où le Seigneur nous aide à poursuivre dans le bon chemin. Heureux sont tous ces gens qui réussissent à fonder une famille et à partager l’amour comme, cette charité qu’ils ont apprise. ils partagent avec leurs semblables mais la vérité exige de reconnaître l’amour à enseigner, et il n’y a pas meilleur modèle que le Christ.
Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous!
